
La formation valaisanne a souvent été citée en exemple pour son excellence. Dans une situation budgétaire 2014 mal préparée et mal maîtrisée par le Conseil d’Etat, l’école valaisanne se retrouve aujourd’hui dans la tourmente. Cette situation est très préoccupante.
C’est pourquoi, le PLR déposera ce lundi au Parlement un postulat urgent demandant de stopper immédiatement les mesures de restriction actuellement mises en place dans l’urgence et qui péjorent la qualité de l’enseignement.
Lors de la session de décembre dernier, le budget 2014 amendé a été accepté par le Parlement et renvoyé pour finalisation au Conseil d’Etat. Dans sa nouvelle mouture, le Gouvernement s’est contenté de demander aux départements déficitaires d’équilibrer leur budget.
Il en ressort que dans le département de la formation et de la sécurité, les coupes budgétaires proposées par le Gouvernement vont entraîner la péjoration de la qualité de la formation dans notre canton selon le chef du département lui-même et selon les professionnels de l’enseignement.
De plus, le manque d’anticipation a donné lieu à la mise en place de mesures d’urgence dans la précipitation sans réflexion de fond. Il en résulte des solutions globales peu satisfaisantes.
Pour le groupe PLR, il est inconcevable que des mesures de restriction au niveau de la formation soient prises à la légère. Tout ceci est au détriment de nos enfants et de leur avenir.
Si nous comprenons la logique des enveloppes proposées par le Conseil d’Etat pour l’élaboration primaire du budget, nous ne comprenons plus pourquoi au moment de finaliser ce même budget, cette logique gouvernementale passe avant l’avenir de nos enfants. En faisant de la sorte, le Gouvernement cautionne ces coupes au détriment de la formation. Contrairement à ce qui est affirmé par le chef du DFS, la responsabilité finale incombe au collège gouvernemental et non au Parlement.
Le groupe PLR demande donc au Conseil d’Etat de revoir ses priorités, de stopper immédiatement les coupes dans l’enseignement qui péjorent l’école valaisanne et d’équilibrer avec d’autres postes moins fondamentaux, indépendamment des départements.
Pour le groupe PLR au Grand ConseilXavier Mottet & Christophe Claivaz
C’est pourquoi, le PLR déposera ce lundi au Parlement un postulat urgent demandant de stopper immédiatement les mesures de restriction actuellement mises en place dans l’urgence et qui péjorent la qualité de l’enseignement.
Lors de la session de décembre dernier, le budget 2014 amendé a été accepté par le Parlement et renvoyé pour finalisation au Conseil d’Etat. Dans sa nouvelle mouture, le Gouvernement s’est contenté de demander aux départements déficitaires d’équilibrer leur budget.
Il en ressort que dans le département de la formation et de la sécurité, les coupes budgétaires proposées par le Gouvernement vont entraîner la péjoration de la qualité de la formation dans notre canton selon le chef du département lui-même et selon les professionnels de l’enseignement.
De plus, le manque d’anticipation a donné lieu à la mise en place de mesures d’urgence dans la précipitation sans réflexion de fond. Il en résulte des solutions globales peu satisfaisantes.
Pour le groupe PLR, il est inconcevable que des mesures de restriction au niveau de la formation soient prises à la légère. Tout ceci est au détriment de nos enfants et de leur avenir.
Si nous comprenons la logique des enveloppes proposées par le Conseil d’Etat pour l’élaboration primaire du budget, nous ne comprenons plus pourquoi au moment de finaliser ce même budget, cette logique gouvernementale passe avant l’avenir de nos enfants. En faisant de la sorte, le Gouvernement cautionne ces coupes au détriment de la formation. Contrairement à ce qui est affirmé par le chef du DFS, la responsabilité finale incombe au collège gouvernemental et non au Parlement.
Le groupe PLR demande donc au Conseil d’Etat de revoir ses priorités, de stopper immédiatement les coupes dans l’enseignement qui péjorent l’école valaisanne et d’équilibrer avec d’autres postes moins fondamentaux, indépendamment des départements.
Pour le groupe PLR au Grand ConseilXavier Mottet & Christophe Claivaz